Élie Lescop : Différence entre versions

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Employé à la mairie de Rennes il avait eu le privilère d'y sonner le tosin le 2 août 1914.
 
Employé à la mairie de Rennes il avait eu le privilère d'y sonner le tosin le 2 août 1914.
  
Élie Lescop est fusillé à Souain le 18 ou le 19 octobre 1914 pour abandon de poste et mutilation volontaire. Sa condamnation est basée sur un certificat du docteur Buy<ref name="buy">[http://books.google.com/books?id=jbhygRF2PwYC&lpg=PA229&dq=%22lescop%22%201914&hl=fr&pg=PA229#v=onepage&q=%22lescop%22%201914&f=false Les fusillés de la Grande Guerre: Et la mémoire collective (1914-2009) Par Nicolas Offenstadt, page 229]</ref>, il est fusillé avec [[François Marie Laurent]], condamné pour les mêmes raisons, présomption de mutilation volontaire, après avoir été examiné par le docteur Buy<ref name="buy"/>.  
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Élie Lescop est fusillé à Souain le 18 ou le 19 octobre 1914 pour abandon de poste et mutilation volontaire. Sa condamnation est basée sur un certificat du docteur Buy<ref name="buy">[http://books.google.com/books?id=jbhygRF2PwYC&lpg=PA229&dq=%22lescop%22%201914&hl=fr&pg=PA229#v=onepage&q=%22lescop%22%201914&f=false Les fusillés de la Grande Guerre: Et la mémoire collective (1914-2009) Par Nicolas Offenstadt, page 229]</ref>, il est fusillé avec [[François Marie Laurent]], condamné pour les mêmes raisons, présomption de mutilation volontaire, après avoir été examiné par le docteur Buy<ref name="buy"/><ref>Voir aussi [[Auguste Gonsard]] et [[François Marie Laurent]]</ref>.  
  
 
Il est réhabilité par la Cour spéciale de justice militaire en 1934.
 
Il est réhabilité par la Cour spéciale de justice militaire en 1934.

Version du 14 mai 2011 à 19:54

Élie Lescop est soldat du 336e régiment d'infanterie fusillé pour l'exemple par l'Armée française durant la Première Guerre mondiale.

Biographie

Employé à la mairie de Rennes il avait eu le privilère d'y sonner le tosin le 2 août 1914.

Élie Lescop est fusillé à Souain le 18 ou le 19 octobre 1914 pour abandon de poste et mutilation volontaire. Sa condamnation est basée sur un certificat du docteur Buy[1], il est fusillé avec François Marie Laurent, condamné pour les mêmes raisons, présomption de mutilation volontaire, après avoir été examiné par le docteur Buy[1][2].

Il est réhabilité par la Cour spéciale de justice militaire en 1934.

Relevés mémorial

  • Pas de relevé Mémorial

Le 336e régiment d'infanterie

  • [http://www.memorial-genweb.org/~memorial2/html/base1418/resultrgt.php?arme=Infanterie&type=R.I.&n=336 Morts pour la France du 336e régiment d'infanterie] (base Recoupements 1914-1918)

Notes et références

  1. 1,0 et 1,1 [http://books.google.com/books?id=jbhygRF2PwYC&lpg=PA229&dq=%22lescop%22%201914&hl=fr&pg=PA229#v=onepage&q=%22lescop%22%201914&f=false Les fusillés de la Grande Guerre: Et la mémoire collective (1914-2009) Par Nicolas Offenstadt, page 229]
  2. Voir aussi Auguste Gonsard et François Marie Laurent

Voir aussi