Jean-Claude Michon

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Jean-Claude Michon, né le 14 septembre 1944 à Cholet - 49


A notre descendance d'un ou plusieurs siècles dans le futur


Bienvenue, dans la découverte de l'histoire inachevée de nos Ancêtres, à laquelle, toi aussi, tu pourras contribuer : J'ai concrètement et sérieusement commencé les recherches généalogiques en 1995.

Jusqu'à cette période, je ne connaissais rien de mes racines, sinon, que j'avais entendu dire, à plusieurs reprises, par mon père, sans trop y prêter attention, qu'Auguste MICHON, notre grand-père, est né en Vendée, à Martinet.

Par ma mère, que notre grand-mère maternelle, est le fruit d'une relation avec un homme issu de la Bourgeoisie des Herbiers 85...

Les circonstances de la vie, ont fait, que vers la cinquantaine, j'ai éprouvé, comme d'autres à cette tranche d'âge, le besoin d'en savoir un peu plus sur nos origines. A ce moment précis, j'ai dû faire le dur constat, que notre père se trouvait dans l'impossibilité d'évoquer quelques souvenirs, sur l'histoire de nos ancêtres, au-delà de son père, qu'il connaîtra peu, se trouvant orphelin de lui à l'âge de quatre ans...

Les traditionnelles archives départementales, vont d'abord très vite me faire remonter jusqu'en 1680, pour notre seul patronyme d'héritage. Puis, la pré-retraite arrivant, cela me permettra de consacrer plus d'un mi-temps, à la recherche généalogique, pendant ces premières années de temps libre..... Je vais avec beaucoup d'événements que je qualifierais volontiers ensuite, d'extraordinaires, dans un temps relativement court, retrouver le cheminement géographique, de nos ancêtres patronymiques, en remontant l'espace et le temps : de Cholet 49, vers le littoral du 85, département qui compte en France, le plus de familles MICHON.

Bizarrerie peu banale, me semblera-t-il, car on trouve, ensuite à l'époque, la plus grande concentration de ce patronyme, dans la région Rhône-Alpes (et classiquement, comme la plupart des patronymes, dans la région Parisienne).

Les deux pôles : Ouest et Est, me font poser l'hypothèse, jadis, d'une migration Italienne :

- par la montagne, pour le Rhône-Alpes;

- par la mer, pour la Vendée.

De Martinet en passant par Vairé, St Julien-des-Landes, ou la Mothe-Achard, vers St Martin-de-Brem, on arrive à la mer, d'où sont sans doute arrivés les MICHON de Vendée (la plus forte concentration de ce patronyme étant présente sur le littoral).

A "la Mignotière" de St Martin-de-Brem, Pierre MICHON , époux de Marie ARTAUD, y était "Laboureur". L'un de ses fils, François Aimé MICHON, notre trisaïeul, époux de Jeanne GAUTREAU, d'abord journalier, comme beaucoup à l'époque, s' installera "aux Suries", à St Julien-des-Landes, où lui et sa nombreuse descendance, occuperont ce lieu, comme "Métayer", pendant presqu'un siècle, de 1840 à 1940 environ.

J'ai pu me rendre sur les lieux, pour y découvrir l'endroit, qui de "la petite Surie" à "la grande Surie" s'appellera plus tard: "les Suries". La ferme se trouve à la jonction du territoire des deux communes : St Julien et Martinet.

En 2000, cette ferme était exploitée par les MUZARD, dont le grand-père décédé peu de mois avant notre passage, aurait connu et travaillé en voisinage avec nos MICHON.

Aux "Suries", ou ils arriveront entre 1839 et 1841 (présents au recensement de 1841), il y avait trois "feux", nous dira l'occupant des lieux. Deux feux à droite de la route, sur la commune de St Julien, un feu sur la gauche de cette même voie d'accès, commune de Martinet...

Mon plus grand souhait sera chaque fois exhaussé, quand, en plus de la recherche verticale, nous aurons la chance, avec les moyens modernes, évolutifs, de communication et d'échange, de pouvoir poursuivre et d'élargir la recherche horizontale, c'est à dire : trouver des collatéraux et leur descendance, jusqu'à la période contemporaine, quand l'opportunité se présentera. Pour cela, les groupes d'échanges et de discussions, sur le thème de la généalogie, seront d'un grande aide (CGW49, 85, 79 etc...)...

Au tout début de mes recherches, côté MICHON, par l'annuaire téléphonique, j'ai eu déjà l'immense plaisir de retrouver plusieurs lignées de descendances vivantes issues des "Suries"...

Pourtant, MICHON Jean Marie, cité au moins deux fois, comme oncle, restait non trouvé, jusqu'à juin 2008. Il épouse NAULEAU Marie Louise. On les trouve à Beaulieu-sous-la-Roche 85. Leur fille ainée, s'allie à un GUIBERT de la Limouzinière 44. Ils n'apparaissent plus sur le recensement de 1911, à Bourg-sous-la-Roche. Deux de leurs enfants muteront en Charente, où ils s'y marient en 1914 et 1928. Les parents et grand-parents les y ont ils suivi ?...

Le plus troublant : le hasard, m'a fait découvrir l'existence d'une grande tante, Léontine MICHON, également inconnue de notre père; vous imaginez : "Sa tante !"

Nous la savons maintenant décédée en bas âge...

Nous tenterons de compléter notre arbre de cousinage, au fur et à mesure de l'accès aux actes plus contemporains (limités longtemps aux 100 dernières années et ramenés à 75 ans, suivant le décret modifiant la loi en 2008).

Après plusieurs visites infructueuses de cimetières, puis une nouvelle évolution d'actes mis en ligne, le décès de notre bisaïeul MICHON Auguste, sera enfin trouvé fin 2008 : en 1903, à Martinet, où il y était cantonnier. C'est aussi dans cette commune, que notre grand-père y sera forgeron, avant de muter sur Paris, puis se replier ensuite à Cholet 49, afin d' échapper à la "grosse berta", au moment de la guerre 1914-18...

Cela aura toujours été un plaisir, de pouvoir trouver d'autres liens et contacts contemporains, en autres, de cette descendance, des "Suries" de St Julien des Landes, en Vendée et ainsi élargir le cercle de nos cousins, qui s'y rattachent, comptant encore à ce jour de nombreux inconnus...

Nous n'avons notamment, qu'une seule et unique photo de notre grand-père. Rien de nos bisaïeuls et encore moins de nos trisaïeuls MICHON !..... Alors cousins futurs, issus des "Suries", nous espérons grâce à vous, un jour, nous ou notre descendance, pouvoir compléter l'album!...

Il y a bien une photo de groupe qui dort ici, ou là, dans un tiroir...

Pour que nos potentiels cousins contemporains, puissent plus facilement se situer au niveau de leur branche, afin que tous puissent apporter leur contribution, nous présentions en juillet 2008, pour la première fois, l'arbre de descendance complet de nos recherches, de l'origine patronymique MICHON, jusqu'à 1907.

A l'occasion d'une riche rencontre, c'est tellement toujours plus vivant, d'évoquer la mémoire familiale et les histoires de vie. Cela permet ainsi, parfois, d'apporter des compléments au niveau de l'arbre commun, en photos, !...

Au 1.06.2003 notre recherche comptait plus de 80 000 personnes, en liens quelconques, dont 56 000 en liens de sang . Six ans plus tard, notre recherche en comptera plus de 360 000, avec les divers cousinages trouvés, au 31.03.2009.

Nous avons des liens génétiques, comme nous l'avons déjà évoqué, par la branche des LELIEVRE, issus des Yvelines 78, qui, associés aux GRIGNON, sont eux, issus de Seigneurs du Bas Poitou : dont les FRANCOIS du Temps, BOUQUET de la Chevalerie, DOUESPE (de la), MAJOU...

Cette ascendance, nous fait cousiner, entre autre, avec les branches communes de Georges CLEMENCEAU, grand politique populaire en son temps, dit "le tigre" ou "le père la victoire" et de Charles BONCHAMPS, le célèbre général Vendéens...

A noter, que pour les Pays de Loire, pendant cinq années durant, nous avons été participants et avons apporté notre contribution au fichier de Michel POTIER : site dit "La Marquise"; comptant à fin 2006, quelques 450 000 personnes en liens. Gratuit, convivial et innovant à ses débuts et pendant la période, site, qui depuis début 2007, s'est refermé et privatisé, en s'organisant en association, moyennant une cotisation de 10 Euros.

S'y sont trouvés accumulés par nous et notre famille, quelques 343 couples d'ancêtres faisant cousiner nos enfants avec d'autres participants contemporains, à la date du 17.11.2006 (deux ans plus tard, en notre abs, peu d'évolution, puisqu'au 28.03.09, nous n'en sommes qu'à 373, soit 30 de plus, dont 209 pour Marie-Claire et 164 pour moi-même). S'y ajoutera149 cousinages, au niveau de nos petits fils, côté maternel SIGONNEAU-DEVY (168 en maris 2009). Ancêtres, eux, plus concentrés sur le sud-est du 49, le nord du 79, voir aussi sur le 37 et qui rejoignent, par leur grand-mère maternelle, les BASCHER, CHESNON, BINEAU, BRY... présents dans le "dictionnaire des familles illustres de l'Anjou".

Au 28.03.2009, le site « La Marquise » affiche, pour nos autres recherches collatérales aussi transmises avant 2007 :

Yvette GIRARD : 151 cousinages; Suzanne FOULONNEAU : 119 cousinages; René ALBERTEAU : 103 cousinages; Aimée Esther DURAND : 78 cousinages; Amand FILLAUDEAU : 23 cousinages;

Avec ou sans la Marquise, nos travaux continuent !......

Nous commencerons notamment, à rechercher pour nos petites filles, l'ascendance de leur mère, qui se concentre sur les Landes, le pays Basque, Français et Espagnol...

Depuis le 12.11.2008, je me porterai sur les actes en ligne de Bourgogne, pour tenter d'amorcer la généalogie de notre beau-frère, à partir du couple : TOUTIN Paul et DEMONTFAUCON Marie Louise, mariés le 08.08.1905 à Chapelle-sous-Uchon 71, ses grand-parents paternels.

Belle évolution en quelques semaines. les arbres sur Généanet y étant nombreux et les actes en ligne...

En décembre 2008, nous avons largement encouragé « GENEADP », pour l'excellente initiative de Dominique PENISSON, avec son moteur de recherche à l'accès gratuit. Outil facilitant le ciblage de la recherche d'un acte. Complément fondamental, en amont du site des AD de Vendée.

Espérons que les généreux contributeurs n'auront pas à regretter leurs dons, par un revirement futur, à l'identique de "la Marquise" (tu donnes, puis tu paies) !?...

Une charte concrétisant les engagements verbaux, manque au moment, pour le respect des bénévoles et des généreux contributeurs, dans une parfaite transparence et pour la pérennité du projet !...

Après deux années de pose, comme administrateur, puis après un an, uniquement comme bénévole pendant cinq années, nous avons repris, en 2008, une adhésion au cercle de généalogie de Cholet, mais cette fois comme simple chercheur !...

Sur le "net", nous respecterons strictement la confidentialité des échanges et la liberté de chacun, c'est pourquoi nous ne présenterons sur GénéaNet, que les ascendances directes, avant 1907, sans les Liens des cousinages contemporains...

Notre généalogie présentée ainsi, se trouvera donc limitée au 1/10ème, environ, de notre fichier d'étude, après déduction des contemporains des 75 dernières années (législation oblige).

Pour la descendance de collatéraux, les échanges restant toujours confidentiels, en ce qui nous concerne.

Généalogiquement, Marie-Claire, mon épouse, ne s'intéressera pas du tout au virus cultivé.... Comment l'ai-je contracté ?...

En fait, c'est une longue histoire, qui prend petit à petit sens et forme dans mes mémoires de recherches, qui doivent compter, à ce jour, plus de pages que je ne peux vous en transmettre par "le Net". Pense-bête, mémoire, réflexion philosophique, outil de travail complété par de nombreuses photos retrouvées et collectionnées. Sans oublier les récits et secrets de famille, notamment l'ascendance nobiliaire, par ma grand-mère maternelle, Marie MARTINET, en tant que fille, dite "naturelle", puisque non légitimée !...

La tradition verbale de quatre générations, beaucoup d'opiniâtreté, de patience, de travail, d'analyse et de synthèse, de hasard, de rencontres et de chance aussi, ont pu nous faire découvrir nos liens génétiques, d'une grande partie de cette ascendance, avec des Seigneurs du Bas-Poitou et nous amène à faire évoluer aussi cette branche, qui représente pour nos enfants, quand même, le huitième de leur généalogie, côté paternel...

Même si nos recherches font aussi apparaître une origine assez honorable, vers 1600, par notre branche NORMANDIN, comme fermier général, avec des alliances à des filles de notaires, nous n'aurons pas autant de chance, sur la Tessoualle 49, pour le géniteur de notre bisaïeul : Paul Ernest NORMANDIN, qui porte le patronyme de sa mère, NORMANDIN Palmire. Aussi fils naturel, là, le secret de famille est resté bien hermétique !...

Concernant nos notes en cours, portant pour titre : "Nos mémoires de recherches" :

Nous avions en disponible structuré, au 31.03.2009 :

- Nos Auvinet et le Moulin-aux-Moines de Mouchamps (10 pages);

- LELIEVRE et la "tortue" (70 pages);

- Les Jardiniers de la rue du Transval (31 pages);

- Les DUPEYROUX ont-ils émigré en Amérique (14 pages);

- Une grande tante oubliée (10 pages);

- Pour un Louis de plus (43 pages);

Les chapitres en prévisions et en cours de traitement, à superviser et à retraiter en fichiers RTF et PDF de l'époque (depuis les modification adoptées par le logiciel Généatique 2009) :


Généalogie MICHON Jean Claude :

Une grande tant oubliée; Quand y en a mare; L'ascendance de nos sabotiers de Vendée; Les descendants des "Sueries"; A la rencontre de ma grande tante; Léon PISSOT maire, parrain de ma grand-mère; La petite fille de mon grand oncle; Les soeurs de Joseph BOUSSION; L'ascendance de Marie DEFOY; Nos brigands de Vendée; Les frères DEFOY, de ma grand mère bisaïeule; Descendance DEFOY de la Salle-de-Vihiers; Descendance DEFOY de Treize-vents; Descendance DEFOY de Valanjou; L'ascendance de Paul Ernest; Nos Martinet viennent-ils de Martinet 85; LELIEVRE et "la Tortue"; Notre grand mère de coeur; Et si mon épouse était ma cousine; Nos Collatéraux descendants de Marie d'AUBIGNE;


Généalogie Marie Claire DURAND :

D'où nous vient cousine Jeanne; Pour un Louis de plus; Les soeurs de Louis Félix; L'ascendance VIGNET-BEAUFRETON; Nos AUVINET et le Moulin-aux-Moines; Les jardiniers de la rue du Transval; Aristide pourrait être mon père; La descendance de Victor; Les descendants de Marie Antoinette; Le dernier des MORIN; Il y a combat et COMBAS; Ou ont bien pu migrer les DUPEYROUX; Lien d'Emile et de Marie; Peut-on parler de Léopold; Il n'y a pas que le cirque; L'ascendance-descendance de Jacques Amand; L'ascendance TREPAGNE PLUQUET; L'ascendance MERAND-UZUREAU; Un abbé à caser; Les deux lits de Marie MERAND; Les GRIFFON de la place Travot; Quand une Germaine.

Nous envisagerons de proposer à terme un CD, qui donnerait accès à notre arbre complet; pourra y être intégré l'avancée de "Nos mémoires de recherches", illustrées de nos photos, dont les plus anciennes, avec les non identifiés !..... Restera à en définir le juste prix, pour défraiements !...


Origines géographiques:

Nos ancêtres sont principalement issus de la Vendée historique, qui s'étendait du sud de la Loire, jusqu'à la mer, devenus, en gros : le 85, la Vendée et le 49, le Maine-et-Loire. Dans le choletais pour les quatre dernières générations, comme tout bon choletais de vieilles souches, nous avons aussi des ascendants, qui trouvent leur origine sur ce nouveau découpage du département Vendée, à l'issue de la révolution. Autour de 50% en deçà de 1900, comme nous l'avons déjà évoqué (avec leurs dits " brigands": paysans courageux; commerçants et artisans travailleurs; mais aussi leurs bourgeois et seigneurs); un peu en Deux-Sèvres et en Loire-Atlantique.

Notre patronyme d'héritage est principalement issu de :

JOURNALIERS , METAYERS, LABOUREURS, SABOTIERS, MEUNIERS,TAILLEURS d'habits, MARECHAUX-FERRRANTS; COUTURIERES, ARTISANS et ENTREPRENEURS .....

Par son grand-père TREPAGNE, 1/4 de l'ascendance de Marie-Claire, se trouve dans la Somme, près d'Amiens.

Nos petits fils ont une forte présence d'ancêtres, sur tout le nord du département 79, de St Aubin-de-Baubigné à Bouillé-Loretz. Une branche vient aussi de la Sarthe, une autre de l'Indre-et-Loire.

Nos petites filles ont leur ascendance maternelle, concentrée entièrement sur le Sud-Ouest de la France, avec une forte pénétration sur le nord de l'Espagne...

Voir aussi notre indexation sur mes « arbres.net » du CDIP :

http://geneatique.net/genealogie/mimiche14944/michon-durand-et-associes/MICHON_Francois_Aime_236334387?

Il vous faudra parcourir notre ascendance, pour en apprendre un peu plus et attendre la sortie de notre CD; voir encore quelques années de plus, pour que nos notes, très fournies, peut-être à votre initiative, puissent prendre forme et sens et qu'elles se décident à rejoindre, en "bon ordre", un petit éditeur local, afin d'y être paginées . Mais quand !?...

Je ne prends aucun engagement et j'ai bien l'intention de laisser un peu de travail, en la matière, à mes petits-enfants, ou arrières petits-enfants, enfin sait-on ?... A notre descendance, dans plusieurs décennies ou plusieurs siècles !...

A partir du moment ou les actes, sont en ligne, aussi pour le 49, nous nous obligerons, progressivement, à récupérer ces preuves objectives. Il vous restera encore beaucoup à faire, même en recherche fondamentale, notamment en Vendée et en Deux-Sèvres. S'y ajoute maintenant le 37, le 40, le 64, le nord de l'Espagne, pour nos petits enfants. le 19 et le 71 pour des collatéraux.

Fort heureusement pour le 85, les actes sont "en ligne" depuis Septembre 2003. Le 44 et le 79 ont suivi cette initiative depuis. Un grand merci donc au Conseils Généraux des départements qui ont franchi le pas.

La mairie de Cholet, dès le troisième trimestre 2007, s'est démarquée du 49, qui enfin, au 18.04.2008, rendra ses archives accessibles en ligne.

Cette commune présentant sur le "net", les actes de "Notre-Dame" et "Saint-Pierre", actes paroissiaux de 1600 environ, à la révolution de 1789 et au niveau de l'état civil, jusqu'à 1880, dans un premier temps. A noter : qu'y sera associé une base de recherche, qui vous fera cibler et aller très rapidement vers l'acte que vous cherchez (sans passer par le fastidieux page par page, acte par acte). Net progrès technique aussi, pour enregistrer un acte au format de votre choix. La sélection de l'acte en entier devient possible et aisée, même si l'acte dépasse le cadre de l'écran. Bravo à l'équipe responsable des archives de Cholet et "chapeau bas" aux techniciens, auteurs de ces avancées techniques. La recherche en est largement facilitée.

Quand certains font du protectionnisme et freinent des quatre fers, d'autres font la preuve de percées significatives vers la modernité, pour facilité la recherche généalogique.

Malgré toutes ces évolutions, 1/64ème de notre généalogie, branche du père de notre grand-père maternel, est vouée à rester morte. Comme nous l'avons évoqué, celui-ci, dit aussi enfant naturel, est parti, lui, s'il le connaissait, avec le secret, notre mère étant en bas âge!... Mais un jour, sait-on jamais, un acte notarial (autre source de savoir non exploitée à ce jour), vous révèlera peut-être un petit indice !?...


Notre avis de recherche ou S.O.S :

Entre autres, nous espérions, un jour, réussir à retrouver la fille et/ou la descendance de notre oncle : Charles TREPAGNE, de Paris, + en 1932 à 23 ans: Ginette "Y", au patronyme de nous inconnu et non localisée, sur la vaste région parisienne. La législation qui protège les 75 dernières années contemporaines, ne nous facilitera pas la tâche !..... Une dérogation auprès du Procureur de la république, accordée pour l'année 2007, aurait pu nous permettre de relever, dans toutes les Mairies de Paris, les Ginette nées dans la période.

L'année est passée très vite, sans que nous n'ayons pris le temps de saisir cette opportunité.

Aurait-t-il alors, fallu profiter d'une des émissions de télévision spécifique, quand elles existaient !?...

Voir plus de détails à partir de notre lien et autre site :

« http://monsite.orange.fr/DURANDMICHON »


Nos principales difficultés :


Dans l'ascendance de mon épouse :

Il nous reste un point de blocage historique majeur, au niveau du couple :

DEVANNE Pierre et JOUSSE Jeanne Charlotte, X av 1737. Pierre était veuf de RENUZEAU Jeanne, X av 1728 (Mariages non trouvés). Pierre est sans doute fils du couple : DEVANNE-RENAUDIN, marié aux Cerqueux-de-Maulévrier 49, limitrophe aussi du 79. JOUSSE Jeanne Charlotte, serait la fille de Noël et TOURNERIE Catherine, X av 1702 (on ne trouve pas ces mariages à la Verrie 85) ! ?...

Il est probable que Noël, ait pu avoir un fils ainé, du même prénom, qui se marierait à une POIRIER Marie, avant 1721. Mais, le doute persiste, car il se peut aussi, que ce soit un remariage du père !?...

Un Mathurin DEVANNE, est né de ce couple, potentiel frère de Jeanne Charlotte, ou son neveu !? le cousin germain alors, de DEVANNE Louise Jeanne, présent et cité au mariage de 1763, à la Verrie, avec GRAVELEAU Pierre ! ?...

Ces lacunes nous laissent imaginer, que ces événements introuvables à ce jour, auraient pu, avoir eu lieu, aux Echaubrognes, comme au Puy-Saint-Bonnet ou à la Chapelle-Largeau, communes très sinistrées en matière de registres, au moment des guerres de Vendée ? ...

Les archives notariales, nous permettront peut-être de faire tomber ces blocages !...


Quant à notre propre ascendance :

Il reste, avant 1751, voir 1741, une énigme conséquente au niveau du mariage et donc de l'ascendance, du couple BROUARD François, charpentier, époux de MENIE** Marie, qui de Somloire et Coron (à priori supposés y être nés), ont mutés vers les Echaubrognes, la Tessoualle (forte attraction de population, du fait du bureau de marquage des toiles, comme à Maulévrier et à Cholet). Puis terminent leur vie à Yzernay, où ils y décèdent tous les deux, en 1772 et 1777. Mais avant Somloire, d'où pouvaient bien être les parents de François, comme ceux de Marie, pour qui, je n'ai trouvé aucune naissance en phase, à ce jour, sur notre secteur ! ?...

Il reste vrai, que les variables du patronyme, ne nous facilitent pas la tâche**. On est certes tenté de les raccorder aux BROUARD et aux MENIE de notre région. Mais, un nid de BROUARD, charpentiers de surcroît, a été détecté à Magné 79, dès 1600 et des MONIE sont aussi présents à Cram-Chaban dans le 17. Cette dernière commune, est fort proche des Deux-Sèvres. On a pour piste objective concrète, un double mariage BROUARD, de Gilles et Catherine, sa soeur, le 29.10.1668, à Cram-Chaban, charpentier, dit de Magné 79; et au moins un mariage MONIE René, le 09.09.1668, né en 1648.

Or, nous savons, que certains métiers, comme ceux de maréchaux, charrons, charpentiers, boulangers..... au temps des grandes familles, étaient par la force des choses, contraints, plus que d'autres, de muter vers des communes plus ou moins éloignées, pour pouvoir exercer la profession de leurs pères...

Il en était de même pour des métiers plus saisonniers, comme les scieurs de long, qui descendaient la Loire depuis le Massif Central et parfois se mariaient sur place, dans les Pays de Loire et y restaient...

Les actes en ligne, devenus accessibles, pour le 79, nous permettrons de fouiller cette éventualité !...

Toujours dans la période peu accessible, nous buttons sur le décès de Marie Hortence LANDREAU (supposé inhumée à Cholet 49 ou aux Herbiers 85), arrière grand-mère de mon épouse !.....

Nos quartiers sont parus à leur niveau d'évolution de l'époque, dans le "il était une fois Chanteloup", de Juin 2005, à la SLA, cercle de généalogie de Cholet;

Adresse de notre arbre :

« http://geneweb.geneanet.org/mimiche » ;

Adresse de notre site perso. principal :

« http://site.voila.fr/MICHONDURAND »

qui donne aussi accès à notre album, des photos restant à identifier.


Recherche solidaire:

Nous réussirons aussi, à partir du mariage HERBRETEAU-GREGOIRE, du 18.02.1767, à la Verrie 85, à progresser dans l'ascendance de notre cousin germain (décédé), René ALBERTEAU***, sur un acte de fin transitoire de branche, dit : originaire de St Germain 85.

Après la Verrie 85, ils ont muté sur le 49 : la Tessoualle, puis Cholet 49, Botz-en-Mauges St Pierre-Montlimart (attraction de la mine d'or avant 1939 : réf conférence SLA Fév.2008 par Joseph BREVET "Une mine d'or en Anjou"). Ils ont transité aussi par Varades, pour venir décéder à Mauves-sur-Loire sur le 44, après une deuxième noce !...

L'épouse d'Alphonse ALBERTEAU, étant une Marie Louise DUPE, née à Botz-en-Mauges 49 !.... Le mariage DUPE Louis et BONDU Marie, finira par être trouvé, dans cette commune en 1864. Quand Marie Louise nait, son père légitime est âgé de 85 et sa mère 42 ans. Humour de Marie-Claire PY, sur le CGW49 : "ne se serait-il pas fait duper !?"

Cette branche d'alliance par les NORMANDIN, après avoir voyagé et séjourné dans le 55, s'expatrie dans les années 1945-50, sur le 64, puis le 40 (attraction du tourisme estival sur le littoral). On retrouve ensuite leur descendance contemporaine sur Bordeaux, Toulon et autres régions de France, ainsi qu'en Belgique...

Filiation donc, partie du coeur du département de la Vendée actuelle, très mobile, aussi bien au niveau du patronyme***, que sur le plan géographique...

D'ailleurs, on peut pointer à cette occasion, que généralement, plus on s'éloigne de la commune d'origine, plus un patronyme, sur la base d'une même phonétique, a eu tendance à se transformer au niveau orthographique. Il faut sans doute ajouter à ceci, l' analphabétisation de l'époque, mais aussi les variables, plus ou moins marquées, des patois et des accents, suivant les secteurs, voir les régions !...

Variables plus ou moins handicapantes, bien connues des chercheurs sur le choletais, par exemple au niveau des patronymes : DIXNEUF-GUINEU, HINAULT-INO, BROUARD-BELLOUARD, BLOUIN-BELOUIN, AYRAULT-HERAULT !...

Autres variables de patronymes, qui nous posent, encore aujourd'hui, de sérieux problèmes, pour raccorder certaines branches :

  • HORIEAU -) AURIAU -) AURIA -) ORIAU -) ORIOU -) OURIOU -) AURIOU...
    • MENIE -) MESNIE -) MENAIS -) MESNY -) MONIE -) MONIé -) MONNIER -) MEUNIER...
      • HERBRETEAU -) ARBRETEAU -) ABRETEAU-) ABERTEAU -) ALBERTEAU

Que ces quelques lignes vous renseignent un peu, vous passionnent aussi et vous motivent pour aller, positivement, toujours plus loin, vous que je ne connaitrai jamais !...


Le 11.04.2009 Jean Claude MICHON