Rue de la Tombe Issoire : Différence entre versions
De WikiGenWeb
(relecture ; Paragraphe complémentaire ; références) |
(relecture) |
||
Ligne 8 : | Ligne 8 : | ||
* Aux numéros 26, 28 et 30 se trouve la [[ferme de Montsouris]], dernière ferme de Paris | * Aux numéros 26, 28 et 30 se trouve la [[ferme de Montsouris]], dernière ferme de Paris | ||
− | * Aux numéros 26, 28 et 30, partie de la carrière souterraine du chemin de Port-Mahon classée aux monuments historiques depuis 1994<ref>[http://www.culture.gouv.fr/public/mistral/merimee_fr?ACTION=CHERCHER&FIELD_1=REF&VALUE_1=PA00133020 « Notice no PA00133020 », base Mérimée, ministère français de la Culture]</ref> | + | * Aux numéros 26, 28 et 30, partie de la carrière souterraine du chemin de Port-Mahon classée aux monuments historiques depuis 1994<ref>[http://www.culture.gouv.fr/public/mistral/merimee_fr?ACTION=CHERCHER&FIELD_1=REF&VALUE_1=PA00133020 « Notice no PA00133020 », base Mérimée, ministère français de la Culture]</ref>. En 1998 le Conseil d'État a confirmé ce classement en précisant « que la carrière souterraine de Port-Mahon datant du XIV{{e}} siècle est la seule véritablement attestée de cette époque sous Paris et qu'elle présente un panorama complet de l'exploitation de la pierre à la fin du Moyen Age, du fait de son caractère intact »<ref>Séance du 25 février 1998 du Conseil d'Etat.</ref>. |
== Voir aussi == | == Voir aussi == |
Version du 8 juin 2014 à 13:29
La rue de la Tombe Issoire est une voie du 14e arrondissement de Paris, quartiers Parc de Montsouris et Petit Montrouge.
Origine
Voie de Saint-Jacques au moyen age, puis chemin de Bourg-la-Reine, ancien chemin de Sceaux et encore vieille route d’Orléans, cette rue prolonge au sud la rue du Faubourg Saint-Jacques.
Au fil de la rue
- Aux numéros 26, 28 et 30 se trouve la ferme de Montsouris, dernière ferme de Paris
- Aux numéros 26, 28 et 30, partie de la carrière souterraine du chemin de Port-Mahon classée aux monuments historiques depuis 1994[1]. En 1998 le Conseil d'État a confirmé ce classement en précisant « que la carrière souterraine de Port-Mahon datant du XIVe siècle est la seule véritablement attestée de cette époque sous Paris et qu'elle présente un panorama complet de l'exploitation de la pierre à la fin du Moyen Age, du fait de son caractère intact »[2].