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Numéroter

10 octets supprimés, 18 février 2011 à 16:12
La numérotation GEDCOM
=La numérotation GEDCOM=
Des spécification Gedcom traitent cette question et apportent un éclairage précieux et une solution organique.
 *Un logiciel doit disposer d'une identification rigoureuse des personnes pour être opérationnel. Ce repérage interne est parfois indiqué à l'utilisateur, selon le choix de l'éditeur. Quand il est publié c'est une aide à l'usage pour départager les doublons par nom et prénoms. Ce numéro géré par le logiciel n'offre pas la garantie d'attribution permanente à une même personne et de toute façon reste spécifique au logiciel. C'est le RIN du gedcom.  *Le chercheur face à la multiplication des documents souhaite organiser ses archives en bénéficiant d'un repérage fixe sur le modèle de la cote des archives, par exemple. Pour tirer complètement profit de cette disposition il est intéressant de reporter cette information dans un logiciel d'analyse en la laissant sous contrôle du chercheur. Quand cette disposition existe , elle est habituellement désigné 'numéro utilisateur'. Dans gedcom c'est le 'user référence number' REFN qualifié par le 'user reference type'. Le besoin du chercheur peut concerner des documents hors sa possession. Mais dans ce cas une autorité doit définir la structure avec les membres. Gedcom décrit cette situation dans RFN 'The record number that uniquely identifies this record within a registered network resource. The number will be usable as a cross-reference pointer.' Je ne connais pas d'application dans le monde des généalogistes amateurs. Pour être plus complet il faut citer le AFN à portée internationale géré par Les Mormons. "A unique permanent record number of an individual record contained in the Family History Department's Ancestral File. "  *Publier les recherches fait partie des objectifs du chercheur. Pour cela beaucoup d'auteurs ont proposé 'La Solution', en fait la leur. Ces méthodes peuvent convenir à la publication des données mais il faut se souvenir que cela est un instantané à une date qu'il faut préciser, si on souhaite la rigueur.
Ce qui précède permet la communication mais pour les échanges le fichier gedcom est très fréquent. Pour l'organisation du fichier le modèle retenu fait appel à des références uniques pour chaque objet, en particulier individus et familles. Mais ces références ne sont liées aux objets et valables que pour le fichier en cours. Selon les fichiers une personne peut avoir des références différentes et la même référence décrire des personnes distinctes. Il serait maladroit d'exploiter ces références en dehors du fichier.
=La numérotation ascendante Sosa-Stradonitz (dite Sosa)=
'''Méthode de numérotation des ancêtres pour l'ascendance.''' Inventée en 1590 par l'historien allemand Michel Eyzinger. (Thesaurus principum hac aetate in Europa viventium, quo progenitores eorum... simul ac fratres et sonores inde ab origine reconduntur... usque ad annum... Cologne, 1590, Editions G. Kempensem, in 8°, pièces liminaires, 223 pages (Bn : G 1760 [1]) ; réedité en 1591, in 8°, pièces liminaires, 263 pages (Bn : G 17461 [1])) Elle fut reprise en 1676 par un moine espagnol Jérôme de Sosa (Noticia de la gran casa de los marqueses de Villafranca) et en 1883 par Galton. Enfin au XIXe siècle, Stephane Kekule von Stradonitz, chimiste allemand (1829-1896), améliore la méthode et l'utilise dans son ouvrage Ahnentafel-Atlas en 1896. [En chimie pour étudier la structure du benzene et d'autres corps organiques, on entend parler de la structure de Kekule. C'est la même personne! Chimiste de metier et généalogiste à ses heures. Il a laissé à la postérité les deux composantes de son nom, une dans chaque domaine !"]
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