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Numéroter

11 octets ajoutés, 18 février 2011 à 16:19
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Identifier des personnes dans un logiciel.
Il s'agit d'une clef (numérique ou alpha numérique) attribuée par le logiciel. Elle est parfois visible (pour interrogation) mais sans modification possible par l'utilisateur. Seul le système peut le faire (ré-indexation ou vérification).
Seul le système peut le faire (ré-indexation ou vérification). Offrir une possibilité à l'utilisateur de numéroter à sa convenance. Ce numéro est propre à l'utilisateur et modifiable par lui.  Organiser les archives du chercheur. C'était surtout vrai à l'époque du papier. Une généalogie informatisée n'implique pas forcément l'utilisation d'une numérotation. Communiquer ou publier dans une revue . C'est ce qui demande le plus souvent l'utilisation d'une numérotation. La communication sert pour une recherche de cousinage. Il convient par défaut de laisser le logiciel gérer la numérotation donc des notations classiques. Mais si la notation est claire il est toujours possible d'imaginer des numérotations personnelles.
Pour la généalogie ascendante il y a une méthode indiscutable, Sosa-Stradonitz.
'''Principe :''' Un ancêtre. Son ainé porte le N° 1, son cadet le N° 2 etc. Le premier enfant de l'ainée est le 1.1 et le premier du cadet le 2.1 etc.
'''Inconvénient :''' pas de distinction si c'est un garçon ou une fille. N'est valable que par rapport à UN individu dont on recherche la descendance. Si on découvre un nouvel enfant, ca oblige à renuméroter en décalant les numéros et idem pour les descendants ... La moindre modification peut devenir extrement extrêmement lourde.
'''Deux interprétations sont possibles :'''
'''Premier avantage:''' la lettre peut être une indication mnémonique (J pour Jean et P pour Pierre, sont bien pratiques) surtout dans des expression comme 128-JP et 128-PJ, qui découlent fréquemment de cette habitude de donner à l'enfant le prénom de l'oncle (qui est même souvent le parrain). Bien sûr on est parfois obligé de perdre la mnémonique, je choisi alors une autre lettre, en général celle qui suit. Si Jean et Pierre ont deux frères Jacques et Paul ils sont étiquetés K(après J) et Q(après P). J'ai remarqué dans la pratique que cela n'était pas si fréquent, et que on tombait souvent sur une lettre (comme K ou Q) peu utilisée.
'''Deuxième avantage:''' on va (sans ponctuation) jusqu'à 26 enfants (c'est dèja déjà plus rare que neuf!). Mais on n'est pas limité car (dans ces cas trés très rares) on peut continuer en rajoutant un chiffre (J1, J2); on conserve la délimitation des niveaux de descendance (qui s'appuie sur les lettres). 128-J1P (2niv.), 128-J2P (2niv.), 128-J1PA (3niv.), 128-PJA (3niv.). On peut d'ailleurs choisir de conserver la mnémonique en n'opérant pas la transformation J-K et en mettant le numéro. Dans la pratique, on s'aperçoit que cela ne rajoute pas souvent le caractère numérique, excepté dans des cas où il est par contre un indicateur assez utile. Un cas de double prénom fréquent est celui ou 128 a eu Jean, Jean, Pierre, Anne. C'est souvent parce que Jean 1 est décédé jeune et son prénom a été redonné à l'enfant suivant Jean 2 (c'est, finalement, à partir du XVIIIe siècle et auparavant, le cas le plus fréquent). Alors, l'indication J1, J2, peut être un "fanion" interessantintéressant.
'''Troisième avantage:''' la numérotation d'Aboville est un case-tête sans fond si on considère que les nos 1, 2, 3, correspondent au 1er, 2ème, 3ème enfant (le jour où vous leur découvrez un ainé bonjour le boulot ou bonjour une informatique adapté). Avec MCS rien de cela puisqu'elle n'est pas ordonnée sur un niveau (mais bien sur, on n'a pas l'ordre des enfants dans la numérotation)
'''Exemple :'''
*Chapître Chapitre 1 - Génération 1 : Père (1) et la Mère (2) dont : Enfant1 (cf 3) et Enfant2 (cf 4) *Châpitre Chapitre 2 - Génération 2 : Enfant1 (3) fils de (1 et 2) et Femme (4) dont : Enfant1 (cf 5) et Enfant 2, sans postérité.
Pour en savoir plus : http://www.saintclair.org/numbers/numreg.html
L'enfant de a porte la lettre b, son petit-fils la lettre c. Et à chaque enfant on donne un numéro : 1 pour l'ainé, 2 pour le suivant etc ...
'''Exemple :''' l'ancetre ancêtre "a" a 3 enfants : a.b1, a.b2 et a.b3.
Ensuite "a.b2" a lui même 4 enfants qui porteront les numéros : a.b2.c1 puis a.b2.c2 puis a.b2.c3 puis b2.c4
*'''Dujardin :''' se sert de la méthode circulaire avec l'ancêtre au centre. Les générations descendantes se situant en cercles concentriques subdivisés selon les rameaux en secteurs.
*'''Ponroy :''' adaptation de la méthode d'Aboville. *'''Demonferrand : ''' signalée comme trop complexe.
*'''Menu-Lelong :''' combine les chiffres romains et arabes et même les lettres. La lisibilité est bonne, le classement simple mais les liens de parentés ne sont pas toujours évident.
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