Modifications

Aller à : navigation, rechercher

Gestion des sources

7 584 octets ajoutés, 2 mars 2011 à 16:34
Réflexions sur la crédibilité d'une source
<br/>" CERTAINTY_ASSESSMENT: = {Size=1:1} [ 0 | 1 | 2 | 3 ]
<br/>The QUAY tag's value conveys the submitter's quantitative evaluation of the credibility of a piece of information, based upon its supporting evidence. Some systems use this feature to rank multiple conflicting opinions for display of most likely information first. It is not intended to eliminate the receiver's need to evaluate the evidence for themselves.
<pre> *0 = Unreliable evidence or estimated data *1 = Questionable reliability of evidence (interviews, census, oral genealogies, or potential for bias for example, an autobiography) *2 = Secondary evidence, data officially recorded sometime after event *3 = Direct and primary evidence used, or by dominance of the evidence " </pre>
==Le concept de sources==Le concept de sources par Sylvain PeyrichouLes généalogistes désignent par SOURCES tous documents qui apportent des informations pour la construction d'une généalogie.Face au grand nombre de données à traiter il devient naturel de prendre en charge les dites sources dans un logiciel de généalogie. Il s'agit de les enregistrer, les conserver et les consulter pour mener à bien l'analyse des liens de parenté. Cependant les généalogistes sont amenés à échanger des informations. Il est plus efficace que le support soit compatible avec le plus grand nombre de logiciels. La solution unique au monde est celle de gedcom. Elle couvre aussi le transfert des sources.Sans détailler le parcours pour atteidre le modèle actuel voici le schéma de base. Il consiste à distinguer deux groupes d'informations, d'abord celles qui concernent le contenu des sources et leur identification, ensuite celles qui décrivent l'usage des sources par les déductions. Par convention et pour la facilité le mot sources désignera le premier groupe et le mot citation désignera le second groupe. Cette précision concerne les données proprement dites et leur représentation dans un fichier gedcom.Chaque éditeur organise les données selon un modèle qui lui est propre et souvent non publié. '''Par contre la règle gedcom précise:''' *- les données composantes d'une source sont placées dans un enregistrement avec un identificateur et le fichier contient autant d'enregistrements que de sources. *- Les citations d'une source sont placées dans une sous structure intégrée dans l'enregistrement groupant les données d'une même nature d'enregistrement, en pratique ce sera pour une personne, une famille ou un événement lui même présent pour une personne ou une famille. Les sources relatent toujours plusieurs éléments qui seront chacun documentés par une citation de la source. Il est évident que l'enregistrement unique d'une source conduit à des économies d'espace et limite les temps d'éxécution. Ce schéma citation par référence est indispensable et fait partie des fonctions d'un bon logiciel de généalogie.La règle [[gedcom]] précise tous les cas de figures où il peut être fait appel à des citations de sources. La liste synthétique de ces cas est disponible dans le tableau des tags qui indique pour chacun les usages possibles. La recherche de bonne utilisation est plus confortable dans l'arbre qui globalise toute la grammaire.Ce qui précède englobe tout le contour du potentiel disponible dans gedcom. Maintenant il convient de rappeler que si la syntaxe doit être conforme la règle, gedcom ne définit pas ce que doit contenir un fichier. C'est l'éditeur du logiciel qui détermine le contenu du fichier gedcom produit.Voilà la première raison à nos difficultés d'échange de données. De plus les éditeurs ne publient jamais ce type de renseignement. Par contre ils revendiquent fort les vertus des fonctions gedcom offertes. Ceci n'a aucun sens et génère beaucoup de déception chez les utilisateurs.Dans cet environnement flou ou souple selon l'éclairage, les utilisateurs doivent dire ce qu'ils veulent et ce dont ils ont besoin. A charge pour chacun de vérifier son logiciel et d'en changer selon ses objectifs.===Un enregistrement SOURCE:===Une page du site normalisation présente une liste des données et une méthode sur la manière de renseigner les zones et pour les logiciels les plus courants. C'est le minimum pour un logiciel sérieux. Bien sûr on peut toujours allonger cette liste. Souvent des critères de documentaliste sont avancés mais ils n'apportent rien à l'analyse généalogique. La frontière n'est pas la même pour tous. Et il est toujours possible d'associer un gestionnaire spécialisé qui sera plus performant et soulagera la base de données qui deviendrait lourde en espace et lente en évolution. Dans un gedcom la présence des sources doit être précisée. Doit-on exporter toutes les sources d'une base ou seulement celles citées pour les personnes décrites dans un fichier qui n'est pas global. En d'autres termes le dictionnaire des sources doit-il faire partie du fichier. Je ne pense pas mais un logiciel offrant le choix serait bienvenu.   ===Une citation de source:===Elle est associée au niveau le plus détaillé pour exploiter tout ce qui est relaté dans une source . Une citation contient au moins la référence de la source preuve du fait enregistré. Si la source est importante un repérage peut figurer comme un numéro de page dans le cas d'un volume. Un texte peut également être présent à propos de l'événement si la source enregistrée ne contient pas déjà le texte global.Il serait souhaitable d'enregistrer la qualité, la force de preuve de cette source, en un mot les raisons qui conduisent le chercheur à sa déduction. Cette disposition est particulièrement utile chaque fois que le fait est probable avec un seul élément et que l'appéciation peut évoluer avec l'apparition d'autres précisions.
 ===La réalité des échanges en début 2004:===Les éléments qui précèdent ne sont pas tous convenablement traités par les logiciels dominants, par le nombre, dans la communauté généalogique. Les différences portent sur la nature des données et sur la représentation. Le détail de ces divergences apparait dans les rapports de test. Il pourra être utile de consulter le rapport pour un logiciel donné et prévoir si le transfert sera réussi ou au contraire si des préparatifs seront indispensables===Impact des avancées technologiques===L'informatique sait parfaitement produire et transférer des images. Il est normal qu'un logiciel de généalogie fasse appel à ces technologies. Actuellemnt il n'y a pas de modèle reconnu comme dominant, chaque éditeur y va de son approche propriétaire. Il est impossible de transférer entre logiciels les données et les images de façon simple. Des bricolages un peu complexes permettent parfois des succès, c'est toujours long.La règle gedcom n'est pas muette. L'intégration des données media n'est pas raisonnable par contre la citation des fichiers par adresse et type, avec en option un titre(nom) rend des services. Elle est disponible dans quelques logiciels.Les textes sont enregistrés dans un gedcom sous forme de texte pur, format qui parait triste pour certains. Parfois il est possible de les transférer en RTF puisque les balises sont elles mêmes en texte, mais nous butons une nouvelle fois sur les différences d'interprétation du logiciel récepteur.Ne devrait-on pas généraliser l'usage de fichiers externes pour les textes en soulageant les logiciels tout en apportant toute la souplesse à l'utilisateur dans son choix d'éditeur texte ou de traitement de texte ?===Mise en pratique===Le concept 'source' est relativement simple. Sa mise en oeuvre n'est pas complexe. La difficulté résulte de choix, souvent inexplicables, par les concepteurs. Les sites mentionnés au fil du document vous fourniront les commentaires et les outils pour maitriser votre gestion des sources. ;Participant(e)s : Sylvain Peyrichou, Patrick Texier, Patrice Legoux, Daniel Durand, Jean Roger Tixier-Toutain (alias Jerotito), Jean-Pierre Riballier, Nicolas Verstraete, Renaud Anzieu.
3 708
modifications

Menu de navigation