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En avril 1939 André Béziaud épouse Yolande Aimée Ballanger, peintre Sur Faïence à Gien, il est alors sergent au 501{{e}} régiment de chars de combat à Tours.
En janvier 1940 c'est la naissance de son fils, il est [[sergent ]] au 30{{e}} B.C.C 2{{e}} compagnie en mai 1940 (30e 30{{e}} bataillon de chars de combat), il est capturé le 19 juin 1940 à Burthecourt et arrive au [[Carte des principaux camps de prisonniers de la période du IIIe Reich|stalag XI B]] à Fallinhgsbostel (Allemagne) le 26 juillet 1940<ref>selon une carte de capture datée du 6 septembre 1940 et une liste du 21 août 1940</ref><ref>Liste officielle Numéro 100 de prisonniers français, A Paris le 15 juin 1941, [http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb34458709m/date listes consultables] sur [[Gallica]]</ref>, il y reste en captivité jusqu'en 1945 (5 ans).
En 1953 il est officier à la caserne Canclaux de Saint-Maixent<ref>Selon une carte du combattant délivrée en février 1953 à Niort</ref>.
André Béziaud est à Saïgon du 25 juin 1953 (via Nice 24 juin, Beyrouth 24 juin) jusqu'en mars 1955, retour par Marseille le 1er avril 1955. Il est fait lieutenant officier d'active en 1954.
Officier Honoraire en 1957, Armée de Terre, Arme: Train, carte d'identité militaire établie par le Général de la Division Bouley, Commandant la 2{{e}} Région Militaire.
86{{e}} Compagnie de Q.G en 1957 (Stationne à Compiègne, dissoute même lieu le 31/12/1957).
