Théophile François Marcel Bra : Différence entre versions

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[[Fichier:Lille colonne deesse.jpg|thumb|Colonne de la déesse, qui commémore le siège de Lille en 1792, au centre de la Grand place de Lille (''photo [[commons:Benh|Benh LIEU SONG]]'')]]
 
'''Théophile François Marcel Bra''', né le 23 juin 1797 à Douai et décédé le 2 mai 1863 à Douai, est un [[Sculpteurs, architectes (de monuments)|sculpteur]] lillois.
 
'''Théophile François Marcel Bra''', né le 23 juin 1797 à Douai et décédé le 2 mai 1863 à Douai, est un [[Sculpteurs, architectes (de monuments)|sculpteur]] lillois.
  
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== Monuments réalisés ==
 
== Monuments réalisés ==
[[Fichier:Lille colonne deesse.jpg|thumb|Colonne de la déesse, qui commémore le siège de Lille en 1792, au centre de la Grand place de Lille (''photo [[commons:Benh|Benh LIEU SONG]]'')]]
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;La colonne de la déesse érigée en 1845 au centre de la place du Général-de-Gaulle, à Lille : Elle commémore la résistance lilloise au siège de 1792 par les Autrichiens La Déesse tient dans la main droite un « boute-feu », servant à allumer la mèche des canons, et montre de la gauche l'inscription du socle : la réponse du maire de Lille refusant la reddition de la ville assiégée.
 
;La colonne de la déesse érigée en 1845 au centre de la place du Général-de-Gaulle, à Lille : Elle commémore la résistance lilloise au siège de 1792 par les Autrichiens La Déesse tient dans la main droite un « boute-feu », servant à allumer la mèche des canons, et montre de la gauche l'inscription du socle : la réponse du maire de Lille refusant la reddition de la ville assiégée.
  

Version du 24 juillet 2014 à 10:03

Colonne de la déesse, qui commémore le siège de Lille en 1792, au centre de la Grand place de Lille (photo Benh LIEU SONG)

Théophile François Marcel Bra, né le 23 juin 1797 à Douai et décédé le 2 mai 1863 à Douai, est un sculpteur lillois.

Second grand prix de Rome en 1818.

Monuments réalisés

La colonne de la déesse érigée en 1845 au centre de la place du Général-de-Gaulle, à Lille 
Elle commémore la résistance lilloise au siège de 1792 par les Autrichiens La Déesse tient dans la main droite un « boute-feu », servant à allumer la mèche des canons, et montre de la gauche l'inscription du socle : la réponse du maire de Lille refusant la reddition de la ville assiégée.

Annexes

Notes et références

Liens